✠ Votre Personnage ✠ ❖ Identification• Nom : Kim (signifie Or en Coréen)
• Prénom : Iwa Seo
• Surnom : Iwa tout simplement !
• Sexe : ♂
• Âge & Date de naissance : 19 ans (âge supposé), 17 mai (Il se l’ai lui-même choisit.
• Orientation sexuelle : Tout ce qui passe est bon à prendre…
• Origine(s) : (supposées) Coréennes et Japonaises
• Langue(s) : Coréen, japonais avec quelques difficultés. Il lui arrive aussi parfois de sortir des mots dans des langues inconnues… Généralement dans ses cas-là, il ne sais pas lui-même d’où il les sort.
• Métier(s) : Chien de garde de la Tour enfin... leader incontesté de Kazoku.
Les Kazokus : Autrement dit, les Informateurs. Branche indépendante du gang Grey Wolfs, ils veillent dans l'ombre. Ils ont le vague but de préserver la Tour Shibuya mais, la plupart du temps, ils laissent ce travail à ceux de la branche principale. Dirigés par Iwa Seo Kim, ils sont très discrets... personne ne sait vraiment combien ils sont néanmoins, une chose est certaine, ils sont là et il ne faut jamais les oublier. Ils sont à part concernant les autres de Grey Wolfs... il faut dire que leurs relations sont parfois tendues toutefois, l'existence de l'un garantit l'équilibre de l'autre. Ils n'hésitent pas à utiliser la violence et sont souvent cruels dans leur façon de faire... On dirait pourtant qu'ils ne laissent jamais de traces. Leur plus grand boulot est de collecter les informations qu'ils leur sont nécessaires.
❖ Aspect physique • Physionomie : Par pitié ne le sous-estimer pas. Vous croyez, parce que ce n’est pas un molosse, qu’il est sans danger ? Vous faîtes drôlement erreur. N’avez-vous par remarquer cette aura sauvage qui s’échappe de lui ? Vous êtes aveugle.
Iwa n’est pas bien grand. Aux alentours d’un mètre soixante. Ce qui est dans la moyenne pour un asiatique. Néanmoins, personne ne sait vraiment combien il mesure. Il refuse à tout le monde de le mesurer. Vous souhaitez quand même tenter votre chance ? Faîtes votre testament avant, cela vaut mieux. Ce n’est pas non plus par sa musculature qu’il impose… On doit l’avouer – mais pas devant lui, cela s’entend – qu’il est beaucoup plus fin que baraqué. Néanmoins, encore une fois, je vous en supplie, ne faîtes pas attention aux apparences. Il est autant agile que fort et vous fera amèrement regretter de l’avoir juger sur son apparence.
Sa silhouette est donc svelte. Ses cheveux sont d’un brun foncé proche du noir, faisant ressortir sa peau blanche qui craint le soleil. Mais peut-être que le plus impressionnant est ses yeux. Ses iris sont d’un rouge vermeil impressionnant. Il est possible qu’il est subit une intervention sur eux lorsqu’il était plus jeune pourtant, il ne s’en souvient pas du tout. Les médecins ont également décrétés que cela pouvait être une maladie de la vision qu’il étouffait les stigmates responsables de la couleur des yeux… Mystère complet sur cette histoire.
Les traits de son visage sont plutôt fins (encore une fois, si vous tenez à votre vie, taisez-vous sur le sujet). Si vous y voyez un sourire sadique, ne bougez plus ou faîtes le mort. Ne surtout pas s’enfuir, vous lui donnerez encore plus de plaisir… Il est très fort en tout ce qui est sport. Course, course d’obstacles, grimpe, équilibre, combat… tout y passe.
• Vêtements : Iwa aime le noir. C’est un fait. Toutefois, il n’est pas très dur en ce qui concerne les habits… Tant que cela est confortable et qu’il peut bien bouger dedans, cela lui va… Enfin… Il ne supporte néanmoins pas les couleurs vives. Il trouve que c’est trop vite repérable et ce n’est pas pour lui plaire. Il est assez frileux donc il a très souvent une veste sur les épaules. Ses vêtements de prédilections sont un jean noir, un petit pull de la même couleur et une veste brune rembourrée avec de la fourrure qu’il ne quitte presque jamais. Pour les chaussures, c’est toujours des baskets ! Il faut qu’il puisse courir avec !
• Autres : Aucun piercing, aucun maquillage... ce n'est pas fait pour lui. Par contre, il a un grand tatouage qui prend tout son flanc gauche... c'est des ronces emmêlées sans fleurs. Son corps est couvert de multiples cicatrices... grosses ou petites, profondes ou superficielles.
❖ Psychologie • Caractère : Aucun doute possible, Iwa est un psychopathe. Il a énormément de mal à distinguer le bien et le mal et s’en fout royalement lorsqu’il le comprend. Néanmoins, il ne fait pas de mal aux gens qui lui sont proches… Il aime torturer les personnes qui veulent du mal à ce qui est précieux pour lui. Il jubile de les voir souffrir… On peut croire qu’il n’a pas de sentiment… Est-ce vrai ? Il faudrait le côtoyer pour le prouver. Mais qui se risquerait à l’approcher ? La plupart des gens le déteste. Cela ne le gêne pas vraiment. Il n’a jamais conscience du danger et se met souvent dans des situations délicates sans même s’en rendre compte. Il n’est pas conseillé de le chercher et encore moins de le trouver. Il n’a aucune pitié.
Pourtant… les membres de Kazoku semblent lui vouer une sacrée confiance… Pourquoi ? Parce qu’Iwa sait reconnaître ceux qui l’ont aidé et il est « loyal » envers cela. Même s’il adore mentir, il n’a qu’une parole et lorsqu’il promet quelque chose, il le fait.
Cela peut paraître paradoxale mais il est très doux et gentil avec ses deux cadettes… Bizarre, n’est-ce pas ? Néanmoins, plus que psychopathe, n’était-il pas plutôt instable ? Encore une fois, Iwa est un vrai anti-social et préfère rester dans l’ombre comme spectateur. Il est très dur de l’approcher. Véritable mine d’informations vivantes, Iwa sait pratiquement tout sur tout. Il n’y a que deux sortes de secrets : ceux qu’Iwa a découvert et ceux qu’il va découvrir. Rien ne lui résiste. Il faut dire que ses espions un peu partout font du bon travail !
Il n’est pas très patient en général. Il aime que les choses bougent ! C’est un impulsif de nature. Sauvage, on ne sait jamais où il se trouve et où il va frapper. Faire naître la peur chez les gens, il s’en exulte. Il a un vrai faible pour les jeux et les paris… Mais il est déconseillé d’en faire avec lui. Pas qu’il soit mauvais perdant… il a seulement tendance à tricher.
Il doit toujours avoir le contrôle sur tout. C’est lui qui pose les lois et personne d’autres. Il ne s’avoue jamais soumis et ne supporte pas tout ce qui le prive de liberté. Les devoirs et les interdits, ce n’est pas son truc… ou plutôt c’est son truc de les briser. Il ne faut pas oublier une seule fois qu’il est très intelligent et rusé ! Sinon, c’est à vos risques et périls…
• Particularités : Il aime faire souffrir les gens qui n’aiment pas… A part cela, me direz-vous ? Pas grand-chose, en fait. Il apprécie manger la cuisine japonaise, plus particulièrement les sushis. Il n’est pas rare de le voir traîner dans la nuit… Il adore regarder les étoiles et observer le monde nocturne. Un de ses passe-temps est d’aiguiser ses lames… Bref. La plupart de son temps, il s’occuper de Kazoku et recherche des informations diverses. Sa curiosité maladive le pousse à toujours vouloir en savoir plus. Il s’amuse régulièrement à taquiner ceux qu’il supporte… qu’on pourrait presque considérer comme ses amis, en tout cas c’est ce qui s’en approche le plus.
• Tics, manies et autres détails : Iwa a la furieuse manie de toujours juger les personnes en face de lui : est-ce que c’est une bonne victime ou pas ? Il a tendance à ne pas tenir sur place… Il a également l’habitude de « jouer » avec ses couteaux. Il est du style à les lancer un peu partout et tenter de les rattraper, avec plus ou moins de succès… Il va souvent dans des endroits bizarres, sans vraiment y faire attention.
❖ HistoireChangement imprévu :
C’était une belle journée au Japon. Les gens étaient joyeux en pleines vacances. Les fêtes foraines peuplaient la ville. Dans un quartier chic de Tokyo, dans la famille Kim, c’était un jour calme. Les deux jumelles de six ans jouaient à cache-cache dans le jardin. Leur sœur aînée, âgée quinze ans, lisait un livre sur une chaise longue. La crème solaire était de la partie. Le père préparait les grillades, la mère la salade. Qui aurait dit que cette journée, proche de midi, tout allait changé pour eux ?
On sonna à la porte. Surpris, Kenjirô Kim s’essuya les mains au tablier qui pendait à sa ceinture. Il éteignit sa cigarette d’un geste rapide. Sa femme lui jeta un regard interrogateur. Il haussa des épaules. Il ne savait pas qui cela pouvait être. Il traversa la maison et ouvrit la porte. Il y avait une femme en tailleur, l’air stricte. Elle remonta ses lunettes et tendit sa main à l’homme.
Il hocha la tête.
- Je suis Hanae Tsukigami, assistante sociale. Je dois vous parler. Votre femme est-elle là ?
Kenjirô ne comprenait pas. Qu’est-ce qu’il avait avoir avec elle ? Sans un mot, il la laissa entrer et pénétra dans le salon. Il la fit asseoir sur leur nouveau canapé. Le visage de la femme était grave, semblant dénué de toute expression… Elle était figée dans son sérieux. Le père de famille alla chercher sa femme. Leurs filles n’avaient rien remarqué. Était-ce tant mieux ?
Ils s’installèrent autour de la table. Le couple d’un côté, l’assistance sociale de l’autre. Aucun d’entre eux ne pensa à proposer à boire. Cela semblait inopportun. Sans raison, la tension s’était établie entre eux. Tsukigami tira une feuille de son sac. Une photographie ? Elle la posa sur la table.
Délicatement, Kenjirô la prit du bout des doigts. Elle représenta un jeune garçon. Hatsumi Kim lui donnerait huit ans. Il avait d’énormes cernes. De ce que l’on voyait, il était maigre. Ses traits étaient fatigués et ces paupières presque closes. On pouvait voir des bleus sur son cou. Il était en mauvais état.
Sa voix tremblait. Il n’était pas certain de vouloir savoir. Comme si le papier l’avait brûlé, il le reposa sur la table basse. Sa femme lui attrapa la main et la serra, fort.
- Votre fils, Monsieur Kim.
Le choc fut grand, l’incompréhension toute autant. Hatsumi lâcha la main de son mari. Le couple Kim avait toujours été plutôt libre… Les infidélités, c’était monnaie courante. C’était grâce à cette règle tacite que leur famille tenait. Tsukigami reprit la parole.
- Vous faîtes souvent des voyages en Corée, n’est-ce pas ?
Bien sûre. C’était son pays natal. Il y avait encore de la famille… Mais la femme en face de lui n’attendait pas de réponse. C’était une question rhétorique.
Le Dossier
Hanae Tsukigami feuilleta ses documents. Elle relit rapidement ce que ses assistants avaient écrit :
«
Nom premier : InconnuPrénom premier : InconnuAge estimé : 10 ansOrigines certifiées : Coréene, japonaiseEtat lors de la prise en charge : Sauvage et amnésique »
La femme tiqua. Qui lui avait donné des apprentis si cons ?! Sauvage ? C’est quoi ce bordel ?! Il y avait tellement de descriptions psychanalystes pour décrire son état et ils avaient noté « sauvage » ! Ils allaient entendre parler d’elle ! Autant sauter quelques paragraphes… De toute façon, elle devrait certainement recommencer elle-même tout le document.
«
Né d’une prostituée coréenne, il s’est fait ballotté d’hôtel en hôtel suivant sa mère et ses clients. Il a plus été élevé par les baby-sitters que sa génitrice engageait que véritablement par elle. Jusqu’au jour où cette pauvre vache… »
C’est décidé, il y aurait des morts dès le lendemain matin. Aujourd’hui, c’était trop tard pour contacter la morgue. Non mais franchement ! Ils avaient quels âges ?! Dire que lors de leurs premiers jours, elle avait bien expliqué le « pourquoi » faire un rapport objectif.
«
… décida que son enfant n’était plus qu’un poids et que sa belle bouille n’arrivait plus à attirer des clients potentiels. Elle l’abandonna. C’est une femme de ménage de l’hôtel qui le découvrit enfermé dans la chambre. Elle l’amena directement au poste de police. Il fut pris en charge par un assistant social. Il a découvert que le père était un Japonais. Le garçon pris donc, à peine une semaine plus tard, direction pour le Japon. Il semble avoir perdu la mémoire. »
Hanae referma le dossier. Il n’y avait aucun besoin d’avertir la famille Kim de tout cela. Il y avait bien assez de problèmes sans en rajouter…
Echec :
Kenjirô serra plus fortement le volant. Il était seul dans sa voiture. Le bruit de fond que faisait sa radio n’arrivait pas à le calmer. Il passa une main nerveuse dans ses cheveux, les ébouriffant. Pourquoi y allait-il ? Il ne savait pas vraiment. Combien de fois avait-il hésiter ? Beaucoup… Qu’espérait-il ? Voir ce garçon ? Voir son… fils ? Lui parler ? Lui sourire ? Rattraper le temps perdu ?
Son fils… Il avait dix ans. Pas huit comme on aurait pu le penser. Dix ans. Kenjirô n’avait pas besoin de réfléchir longtemps à ce que cela impliquait. Il y a dix ans, bien avant la naissance de ses jumelles, il avait commit son premier adultère. Avec une femme quelconque, une jeune femme à la rue… Et ce garçon… était donc leur fils ?! L’homme avait de la peine à y croire.
Flash back
- Mais comment m’avez-vous retrouver ? Comment savez-vous que c’est mon fils ? chuchota Kenjirô.
Mademoiselle Tsukigami lui fit un sourire piteux. Toute cette histoire était dure à avaler pour le couple Kim.
- C’est lui qui nous la dit.
Elle vit une pause, quelques instants pour que l’information puisse être digérer… Elle interrompit les futures questions de l’homme d’un geste de la main. Elle les connaissait d’avance.
- Je ne peux vous révéler les sources. Mais sachez une seule chose, et cette chose est certaine, ce garçon est votre fils.
Fin du flash backEt aujourd’hui, Kenjirô Kim se rendait dans un Centre. Là-bas, son fils. L’homme n’avait rien dit à sa femme. Il savait parfaitement qu’elle aurait exigé d’aller avec lui… mais il avait besoin de se retrouver seul en face de la vérité. Même si ça faisait mal. Même si c’était difficile. Il tenta de se remémorer son entretien avec l’assistante sociale. A aucun moment, elle ne lui avait donner le nom de l’enfant. Est-ce qu’elle ne le savait pas ? Est-ce que c’était contre la procédure habituelle ? Tant de questions logeaient dans sa tête et si peu de réponses…
Il bifurqua et sortit de l’autoroute. Il était tout près. Les battements de son cœur s’accélérèrent. Il ne se sentait pas bien. Néanmoins, il devait assumer ses actes et les conséquences. C’était son fils. Pas celui de quelqu’un d’autre, son fils. Il arriva devant l’immense groupe de bâtiments. Il parka sa voiture et en descendit, tremblant. Il hésita à pénétrer dans l’accueil puis poussa la porte. Dans son esprit, toujours cette petite voix qui lui criait : Assume. Il avança jusqu’au comptoir où derrière se tenait une secrétaire. Il ouvrit la bouche pour faire remarquer sa présence. Les mots restèrent figés dans sa gorge. Il se contenta de tousser.
Incapable de parler, il sortit à la place la photographie que Tsukigami lui avait remise. La femme sembla un instant surprise puis hocha la tête. Elle pianota rapidement sur son ordinateur. Elle lui tendit une carte où l’on pouvait deviner les bâtiments. Elle entoura une chambre avec un marqueur rouge. Et un sourire désolé. Pas un aurevoir. La secrétaire était malheureusement certaine de le revoir… oui, malheureusement.
Sans un mot, Kenjirô s’en alla, suivant le plan serré dans ses mains. Il fallait faire vite. Il n’était pas sûr que ses jambes le porte encore longtemps. La tête lui tournait. Son estomac se retournait. Les couloirs et les portes se ressemblaient tous. Toutefois, derrière les murs, les bruits étaient divers, des cris, des rires, des histoires, des contes, des radios, des pleurs, des voix basses, des silences,… Tous lui paraissaient comme des lames pour sa chaire.
Il atteignit enfin le cercle rouge sur sa feuille. Sur la porte devant lui, le numéro 593. En dessus, là où il y avait normalement le nom du/des patients, une petite fiche vierge. Pourtant, de cette pièce, il entendit provenir des sons. Il ne pouvait dire de quoi il venait. C’était comme un geignement aigu et continu. C’était désagréable. Il posa sa main sur la poignet. Puis le doute. Le trouble. Une envie de vomir.
Qu’était-il, de toute façon, pour cet enfant ? Une chimère ? Un héro qui va le décevoir quoi qu’il fasse ? Un étranger ? Un monstre ? Soudain, l’homme n’eut plus envie de savoir. Il fit demi-tour. D’abord d’une marche rapide, puis en courant. Une terreur sans borne l’avait pris. Il avait peur de cet enfant. Il avait peur de son fils.
Il ne revint pas. Ni le jour suivant, ni la semaine suivante. La honte l’obsédait. Il avait abandonné un enfant qui avait sûrement besoin de lui. Il n’était pas digne d’être père. Il n’arrivait plus à regarder ses trois filles et sa femme dans les yeux. Il les avaient trahi, tous.
✠ Joueur/Joueuse ✠
• Prénom / Pseudonyme : Bin… Elio, comme pour Noree.
• Âge : Bientôt 16 ans ! Banzai !
• Serez vous actif ? On verra ça ^^ !
• Comment avez-vous connu le forum ? Grâce à Keimoo ^^ !
• Avez-vous lu le règlement ? Code validé par votre Kaz' bien aimé /o/