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 Ruka Nanami

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Ruka Nanami


Ruka Nanami

Messages : 11




Ruka Nanami Vide
MessageSujet: Ruka Nanami   Ruka Nanami EmptyDim 24 Mar - 7:10

Nanami Ruka

❖ Identification


Ruka Nanami Ruka10
  • Nom : Nanami
  • Prénom : Ruka
  • Surnom : Ru-chan
  • Sexe : ♀
  • Âge & Date de naissance : 23 ans, 27 février 2000
  • Origine(s) : Japonaises
  • Langue(s) : Japonais (maternelle) - Anglais (secondaire)
  • Métier(s) : Vétérinaire. D'un point de vue officiel, elle n'a jamais eu le temps de terminer ses études. Officieusement, c'est son père, pratiquant le même métier, qui lui a enseigné les ficelles du métier depuis ses 9 ans.
  • État civil : Célibataire

❖ Aspect Physique


« Dis-moi juste que je suis jolie, ça suffira. »

  • Physionomie : Petite. Horriblement petite, au point d'en faire un complexe. C'est du moins ce qu'elle pense, puisqu'un mètre soixante-deux, pour une Japonaise, ce n'est pas mal du tout. De longs cheveux bruns, où perce une frage déstrucurée, à n'en plus savoir quoi faire, si ce n'est accentuer l'effet ondulé qu'ils possèdent déjà - par un mystérieux hasard - et les attacher de telle sorte à ce qu'ils ne la gênent pas. Malgré tout, elle l'aime, sa tignasse... Yeux marrons, une pointe d'ambre se découvrant en pleine luminosité. Ruka est loin d'être vilaine, avec son petit nez et ses lèvres bien dessinées. Ses formes féminines sont ce qui la définit le plus comme étant une femme, mais elle reste, malgré tout, fine, et légèrement fluette - de son point de vue. Malgré ses jambes plutôt longues, débouchant sur des hanches bien taillées, une taille totalement appropriée, et une poitrine assez généreuse. Ce qu'elle préfère chez elle ? Ses mains & ses oreilles. Les premières parce que longues et fines, lui permettant d'exercer son art avec doigté, les deuxièmes parce qu'elles sont très légèrement rejetées en arrière et pointues au bout, lui donnant - selon elle - un petit air d'elfe qui n'est pas pour lui déplaire. Mais ce qu'elle aime par-dessus tout, c'est sa voix. Claire, franche, assurée, avec une pointe flûtée. Du genre à donner le sourire dès qu'on a l'occasion de l'écouter parler.

  • Vêtements : Sa garde-robe ? A peu près tout ce qui lui tombe sous la main. Avec, toutefois, un prédilection pour les jeans clairs, montant jusqu'à la taille et se terminant, soit près du corps pour les pantacourts, soit évasés pour les pantalons longs. Elle dénote aussi une importante affection pour les débardeurs, aux brides normales ou entrecroisées, mais assez longs et évasés de sous sa poitrine à ses hanches. Les couleurs, elle s'en fiche pas mal, tant que ça va à peu près ensemble. La voir en jupe n'est pas particulièrement rare, mais elle préfère clairement les pantalons pour se déplacer. Quant aux robes, c'est du pareil au même, sauf en été. Niveau chaussures, des talons, elle en enfilera dès qu'elle aura l'occasion d'en porter. Sinon, c'est chaussures plates, mais attention, des sandales. Elle tient les baskets en horreur.

  • Autres : Pas de tatouage, rarement du maquillage, mais un piercing, en plus de ses deux oreilles, au niveau du nombril, bien que très discret.


[size=18]❖ Aspect Psychologique


« Arrête de sourire niaisement, Ruka, t'as l'air d'une timbrée. »

  • Caractère : Le caractère de Ruka est, somme toute, des plus simples, puisque son credo, c'est [i]Hakuna Matata. Elle remercie la vie pour à peu près tout ce qui lui tombe sous la main et est une optimiste invétérée. Voir le mauvais côté des choses ? Inenvisageable. Même d'un point de vue pratique, il lui est impossible de s'inquiéter; pour elle, il y a forcément une solution, il s'agit juste de la trouver.
    De fait, elle est très souriante. Partout. Avec tout le monde. On pourrait l'assimiler à du bonheur en spray, arrosant par petites touches son entourage pour lui donner un goût de la vie assez hors du commun et même faire poindre l'espoir chez les plus blasés, quand ils ne sont pas désespérés devant tant de joie de vivre qu'il pourraient qualifier de simplette.
    Entière, Ruka se laisse aller à toutes ses émotions. Quand elle est triste, elle pleure à en créer un lac; quand elle rit, elle contamine toute personne proche, et généralement pour pas grand-chose. Ruka n'est pas rancunière, il en faut vraiment énormément pour la mettre en colère et lui donner envie de vous éviscérer avec une enveloppe de papier.
    Il n'en reste pas moins que Ruka n'est pas une personne très fiable d'un point de vue sentimental, puisqu'elle est curieuse et garde difficilement les secrets. Cela ne l'empêche pas de savoir soutenir parfois les gens qu'elle aime, sans vraiment savoir comment les réconforter.
    Gare à celui qui la prendra une personne faible et fragile, il en perdra son nez en se mangeant son pied. Vulgaire, elle peut l'être, parfois. Généralement, il suffit de lui faire boire un peu de sake, et youplaboum tralala.

  • Particularités : Ruka aime les orchidées. Ce sont définitivement ses fleurs préférées. Son petit monde idéal serait un appartement spacieux et éclairé avec un pot dans tous les recoins possibles à exploiter.
    Ne lui faites jamais boire de coca. En plus de détester le goût, les gaz lui donnent le hoquet. Et quand elle a le hoquet, elle le garde... Pour toute la journée. Ce qui a le don de la mettre dans tous ses états, et, notamment, de l'énerver royalement. Or, quand elle a ses hormones chamboulées, la demoiselle, peut être une vraie petite furie.
    Ruka fait du karaté depuis l'âge de 6 ans. Autant dire qu'elle a un niveau de plutôt douée.

  • Tics, manies et autres détails : Personne ne touche à ses lunettes. Jamais. JA-MAIS. Sauf s'il tient à se prendre un coup de pied dans la tronche - coup qu'elle manie particulièrement bien, à terme - alors même qu'il lui arrive de les enlever d'elle-même. Elle trouve qu'elle a l'air gamine, sinon enfant, sans, et tient absolument à être considérée comme une adulte. Pour Ruka, c'est très important. Le jour où quelqu'un pourra lui enlever ses lunettes sans qu'elle soit à l'article de la mort ou sans recevoir autre chose qu'une moue boudeuse, sinon une petite remarque mécontente, il pourra considérer qu'il est la personne la plus importante de sa vie.


❖ Histoire


« J'ai décidé de vouer ma vie aux animaux, au point d'ôter la leur aux membres de ma famille... »

Je suis née entourée d'animaux. Mon père, vétérinaire, éprouvait à leur égard une folle passion dont il m'a, par la suite, transmis le virus. Entourée également d'une soeur et d'un frère aînés, accessoirement. Oh, je les aimais, bien évidemment. Du même amour que je vouais à ma mère. Mais mon admiration et mon respect inconditionnels allaient à mon père, pratiquant le plus noble des métiers.
J'ai rapidement su que je voulais faire pareil. Petite (4-5 ans), quand l'un de mes nombreux chiens, chats, oiseaux ou reptiles se blessaient - nous vivions dans une maison accolée au cabinet de mon père, de fait nous gardions très souvent des animaux à la maison que je décrétais être les miens -, je m'évertuais à les soigner du mieux que je pouvais, avec beaucoup de douceur. Ce qui avait le don d'agacer mon frère et ma soeur, âgés de plus de 7 ans que moi, ne voyant absolument pas l'intérêt de montrer autant d'affection à un iguane ou à un chien. Ma mère souriait gentiment, mon père m'observait fièrement.
Ce fut tout naturellement qu'il commença à m'initier progressivement au métier de vétérinaire. Les premières années, ma mère craignant que je découvre trop rapidement la vue du sang et autres, mon père se cantonna à m'apprendre comment nettoyer une plaie, panser, bander, et même, du haut de mes 8 ans, à poser une attelle pour guérir une entorse ou une fracture. J'eus à mémoriser de nombreux noms de médicaments, ce qui fut, il faut l'avouer, difficile. Tout du moins au début. Ma mère se montrait sceptique, mais elle dut finalement se rendre à l'évidence que, sans être douée de manière innée, le fait de bûcher et de m'accrocher autant pour une petite fille me conférait des résultats plus qu'acceptables, et que le tout m'influait en bien dans mon cursus scolaire, développant mon goût de l'apprentissage et ma mémorisation rapide.

Ce ne fut qu'une fois que j'atteignais mes 9 ans que ma mère consentit, enfin, à laisser mon père pousser l'apprentissage plus loin. Pendant 3, 4 ans, je devais me contenter d'observer, sans rien toucher. Juste apprendre, inlassablement, et mémoriser. Mais aider les animaux me plaisait.
J'avais cette manie de toujours sourire constamment, tant mon rêve me paraissait à portée de doigt. Joviale, heureuse, extravertie. Tout cela, je le développais essentiellement grâce à ma possibilité de découvrir le métier de vétérinaire à côté de mon école primaire qui, il fallait l'avouer, me paraissait bien fade. Progressivement, je m'ouvrais un peu plus à ma soeur et à mon frères. Nos relations s'amélioraient, à mon plus grand bonheur. Ils faisaient même l'effort de s'intéresser à ma passion. Je découvrais par la même occasion que ma soeur souhaitait devenir fleuriste, et qu'elle appréciait particulièrement les orchidées. Me les faisant découvrir pour m'arracher un air émerveillé, je les adoptais aussitôt. Ma soeur voulait vivre entourée des plus belles fleurs du monde, ce n'était que justice.
Mon frère n'avait pas de projet concret. Il était plus réservé. Mais il aimait bien passer du temps à côté de moi quand je lui montrais l'arrivée d'une mésange ou que je caressais un chat pour le rassurer. Il me disait Souris encore, Ruka.

Je n'avais jamais songé aux garçons. J'avais continué ma scolarité normalement, avec de bons résultats, à la grande fierté de mes parents. Des amis, j'en avais quelque uns. Presque pas de garçons, essentiellement des filles. Toutes très gentilles, et aimant autant sourire que moi, sinon appréciant simplement m'observer respirer joie et bonne humeur. On se voyait régulièrement en-dehors des cours. Elles aimaient bien venir à la maison pour s'occuper des animaux avec moi. En contrepartie, elles me traînaient chez elles pour des goûters, des jeux et des soirées pyjama. Je les appréciais vraiment.
Il n'y avait qu'un garçon avec qui je m'entendais particulièrement bien. Sûrement à cause de son ineffable petit sourire timide me rappelant mon frère, à la différence qu'il vouait également un amour sans fin aux animaux et qu'il souhaitait également devenir vétérinaire. Makoto. Il avait vaincu sa timidité au point d'oser déposer un baiser sur ma joue, après 5 ans à me connaitre. Lui, je l'adorais. Je n'avais jamais réfléchi à la question de l'amour, et savais juste que je tenais énormément à lui.

Mais tout bonheur a une fin, et le mien fut largement ébranlé lors de la Catastrophe. J'étais restée avec papa, dans le cabinet, pour soigner. J'avais 17 ans. Depuis plus de 4 ans, il m'autorisait à l'assister dans les opérations, et m'avait même offert, pour mon anniversaire, de pratiquer en tant de chirurgienne principale, une petite intervention. Ce qui m'avait comblé de joie. Bien plus que les boucles d'oreilles offertes par ma mère, que les vêtements offerts par ma soeur, que les rubans pour nouer mes cheveux offerts par mon frère.
Un typhon était annoncé. Rien de bien grave. Et puis, nous avions une porte communiquant entre la cabinet et la maison. Mais voilà. C'était plus que ça. Je me souviens confusément de cet événement. Surtout du toit arraché par la force du vent. Mon père me criant quelque chose à plein poumons dont je ne me rappelle pas. Ma course jusqu'à la maison, effrenée, pour sauver les animaux. 2 chats, 1 chien, des perruches, 1 serpent et 3 iguanes. Je n'avais que cela en tête. Je ne songeais même pas à ma mère, à ma soeur, et à mon frère. Grand mal m'en prit.
Lorsque je me réveillai, après 48h d'inconscience, tenant entre mes doigts le cadavre des 3 iguanes et d'un chat, je réalisai subitement qu'il était certainement arrivée la même chose à ma famille. Ces humains dont j'avais laissé la vie me glisser entre les doigts.

Réussissant à m'extirper des gravats, j'avais gratté, en pleurant, les débris de ma maison, pour retrouver les visages et corps de ma famille. Jusqu'à ce qu'un groupe de Tokyoïtes, passant par là, m'arrachent à mon ancien chez moi pour m'entrainer de force dans le Centre afin d'y être soignée. Je n'avais pas remarqué ma commotion cérébrale, et, à dire vrai, je m'en fichais. Ce n'est qu'en arrivant sur place que j'apprenais que ma mère et ma soeur étaient décédées. Seuls restaient en vie mon père et mon frère. Que je retrouvai assez facilement, puisque mes cris et pleurs pour retrouver mes animaux et pleurer mes famille partiellement décédée les guida jusqu'à moi.

Le temps passa. Amorphe, je ne le restais pas longtemps. Lentement, je reprenais inexorablement le cours de ma vie, me rendant utile, soignant à tout va. Souriant. Nombre de gens m'affirmèrent par la suite que c'était le plus beau cadeau que je leur avais fait.

Une nouvelle déchirure apparut lorsque père décida de partir à l'extérieur. Puis l'émeute. Ce bain sanglant que j'observais de loin, tremblante, voulant défendre le seul parent qu'il me restait, mais craignant trop de quitter la niche que je m'étais trouvée, et où j'avais abrité plusieurs animaux que j'avais soigné et adopté sur le tas. Une fois encore, mon amour pour le genre animal surpassait mes liens de sang. Une fois encore, je laissais une vie humaine se sacrifier. Et j'en pleurais. Des heures, des jours, des semaines, des mois. Une année entière, prostrée, me refusant à la vie, n'acceptant que le contact des animaux.
Je perdis progressivement tout contact avec mon frère, qui finit par mal tourner, et atterrir au « Repère ». Je n'avais officiellement plus de famille.

Les années passant, j'appris à me reconstruire, remerciant chaque jour un peu plus le Ciel de m'avoir laissé la vie. Mon optimisme reprit progressivement le dessus, et ma vocation de vétérinaire alla croissant. Des livres, il fut facile d'en retrouver, en retournant sur les décombres de ce qui avait été mon domicile. Il me fallut surtout chercher. Gratter, fouiller. Ce n'était pas le genre de choses que les gens auraient pu voler; pour eux, cela n'aurait eu aucune valeur. Certains étaient définitivement hors d'usage parce que trop altérés. D'autres, encore lisibles. Rares étaient les miraculés ayant survécu sans être véritablement abîmés.
De l'immense bibliothèque de mon père, je ne pus sauver qu'une vingtaine de livres, m'estimant déjà heureuse d'en avoir récupéré autant.
Et je recommençai à lire, à étudier, à approfondir tout ce que je savais déjà.
Mes compétences, alliées à mon caractère, permirent plus d'une fois d'amadouer certaines bêtes, anciennement domestiques, devenues sauvages. Mais le chemin à parcourir pour devenir une vétérinaire accomplie était encore long, et la majorité des gens n'avaient pas/plus besoin d'une personne sachant soigner les animaux. Alors, je me rendis utile, autant que je le pouvais. Bien que les animaux soient ma priorité, je voulais aussi sauver des vies humaines. En repentir pour ma soeur chérie, dont je n'avais pour souvenir que le débardeur déchiré que je portais le jour de la Tempête, et l'image imprimée dans ma tête de toutes ses orchidées. En repentir de ma mère, dont j'avais précieusement conservé les boucles d'oreille. En repentir de mon père, que j'avais laissé partir sans le retenir, et sans le défendre.

J'étais ce qu'on voulait que je sois, sans difficulté. Je pouvais aussi bien être aide ménagère que baby-sitter, en passant par médecin en herbe, puisque j'avais quelques notions de soin assimilées au détour d'un livre miraculé.

« Un rayon de Soleil, pâle chaleur ravivant quelques couleurs d'un endroit sale. »

Joueur/Joueuse
  • Prénom / Pseudonyme : As you wish ! ♥️
  • Âge : 20 ans
  • Serez vous actif ? Je peux dire facilement 8 ;)
  • Comment avez-vous connu le forum ? Une joueuse de Keimoo m'a montré la voie sans même le savoir ~ Blush3
  • Autre chose à ajouter ? Voui ~ Code va-li-dé ♥️ par JanJan


Un petit souci avec mon aspect psychologique, mais le code est juste, je n'ai rien touché... o__o
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Ruka Nanami

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