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 Kashyapa Sari

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Kashyapa Sari

Pretty Lonely Junkie...
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Kashyapa Sari

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Job/Gagne-Pain : Serveuse
Humeur : droguée...



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Kashyapa Sari Vide
MessageSujet: Kashyapa Sari   Kashyapa Sari EmptyMer 20 Jan - 9:51

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• Nom : Kashyapa
• Prénom : Sari
• Surnom :La droguée,Junkie...
• Sexe :Féminin
• Âge & Date de naissance :20 ans, née 19 septembre 1999
• Orientation sexuelle :ben ça dépend de ce qu’elle aura pris…
• Origine(s) :Japonaise, indienne
• Langue(s) :Japonais
• Métier(s) :Serveuse

❖ Aspect physique

• Physionomie: Lorsque Sari ouvrit la porte des toilettes, l’odeur de vomi envahit ses narines. Elle s’engouffra dans le couloir sombre, ignorant les effluves putrides qui émanaient. Le premier WC n’était pas trop sale, tout juste quelques traces douteuses comparé aux autres, cependant une chose la gênait : une faible lumière extérieure contribuait à lui renvoyer son reflet sur la porte métallique. Elle abhorrait son image, tout ce qui touchait de près ou de loin à la physionomie de son père. Tout juste le mètre soixante dix, elle avait sacrifié sa longue chevelure lisse et auburn, pareille à celle des indiennes, pour un carré court près de la mâchoire supplanté d’une frange pour cacher ses yeux trop verts et pas assez bridés à son gout. Elle regarda sa peau qui heureusement, était laiteuse et non halée comme son c*****d de géniteur. Ce squelette si fin, si maigre lui rappelait tant de souvenirs…mais pour gâcher le tout une poitrine, des lèvres et des hanches pulpeuses ! « B****l, mais ils m’ont fini à l’urine ou quoi ?! »Puis elle s’effondra sur la cuve ; au moins il fera office d’oreiller…
• Vêtements : Sari sortit finalement de son refuge nauséabond, et décida de rejoindre « sa chambre ».Le tas de gravas qu’est devenu Ropponji, n’attire plus vraiment beaucoup de monde. Au détour d’une ruelle, elle se recroisa cette fois ci plus nettement dans une vitrine et se trouva plus japonaise que jamais. La mini jupe et les cuissardes, c’est pas mal surtout quand on sait les porter, pensa t-elle, et avançant de plus près pour s’examiner , elle était vraiment bien fichue avec ce haut sans bretelles et pour parfaire le tout une mini casquette en cuir. Parfois on pourrait la croire fille de mauvaise vie, mais que nenni ! , le noir c’est la classe absolue. Ce gout de la mode, elle le tenait de son cœur, de sa mère, tout deux disparus et enfouis à jamais dans les ruines de Ropponji.
• Autres : Tout en marchant, les petites chaines qu’elle portait autour du cou, cliquetaient avec le bruit du vent. De petites mitaines noires cachaient les nombreuses petites cicatrices qu’elle se faisait fréquemment avec les seringues. Sari sortant soudain de sa transe, s’aperçut qu’un long filet de bave descendait jusque dans ses seins ; « Et m***e ! »
(Pourquoi a-t-elle un lotus tatoué sur le bras gauche ?sans doute parce qu’elle était droguée quand elle l’a fait…)
❖ Psychologie

• Caractère: En soupirant, elle continua son chemin pour enfin retrouver son nid, au fond d’une maison délabrée. Le seul endroit où elle pouvait se calmer, se reposer, pleurer en silence la mort de sa mère mais aussi souffrir l’absence de son père qui les avait abandonnées vingt années plus tôt , pour retourner en Inde. Un enfoiré de premier ordre dont elle voulait supprimer toute trace, même sur elle. Si seulement sa mère s’était mariée avec un japonais, comme toutes les japonaises de son temps, elle n’aurait jamais regretté…jamais. Et elle non plus d’ailleurs, elle n’aurait jamais touché à ces petits cachets de toutes les couleurs, mais sa vie était tellement sombre. Parfois elle se demandait si elle était vraiment sortie de sa crise d’adolescence, à l’époque elle avait assuré à sa mère que oui, mais, ces cachets ils sont tellement bons ! C’est SA nourriture ! Et puis il y a aussi les poudres, les herbes finement hachées, les seringues qui contiennent ses élixirs, tout ça, EUX ils la façonnent, elle n’est ni homme , ni femme seulement Elle.
Sari se sent tellement bien lorsqu’elle voit ses amis ; des champignons, des animaux, des couleurs, une belle vie quoi ! Lorsqu’elle est en manque elle se met à baver, à pleurer, un tantinet violente … pourtant elle ne s’empêche pas de le faire. Elle est juste en manque d’amour, c’est si difficile à comprendre que ça ?!

• Particularités : Une fois déshabillée, Sari s’allongea nue sur son lit pour savourer ses moments intimes de joie. La douceur des visages retrouvés, les nuages virevoltants au chant des oiseaux, un homme qui lui souriait à moitié nu…Quoi ?! Certes elle avait quelques fantasmes sur ce type qui bossait dans un bar, mais point trop n’en faut ! Laissant venir à elle ces songes fantasmagoriques, elle sombra, ses vêtements aux quatre coins et quelques feuilles brulées.

Histoire :


« Si ma personne vous parait bien lamentable, sachez qu’il en est de même, pour mes origines. »Sari

Asami Fumi était une jeune fille issue d’une famille japonaise fortunée ; elle avait tout pour elle, l’intelligence, la beauté, l’argent. En grandissant elle devint une de ces femmes d’un style rare ; d’une carnation sensuelle à mi chemin entre la douceur du satin et la blancheur de l’ivoire, qui s’épanouissait dans une maturité si juste et si tendre, que les hommes la regardaient à ne pouvoir s’en lasser.
L’homme qui réussit à la séduire, n’était rien pour la famille Fumi. Fraichement débarqué d’Inde, élevé dans l’opulence et la gloire de ses pères , il était pour Asami tout ce qu’elle recherchait chez un homme ; différent des amoureux vulgaires pour qui la femme élue devenait un véritable trophée vivant ; mais attachant par son esprit de mâle soupçonneux, désirant la femme .
Aveuglés par leur passion, Ils avaient conçu l’enfant, que je suis encore aujourd’hui, hors mariage, bien sûr. Et ce qui devait arriver, arriva : rattrapés par la colère de leurs familles respectives, « L’aimé » retourna en pays natal afin de se laver du déshonneur en abandonnant Asami et l’enfant. Asami, quant –à elle, choisissant de garder l’enfant se vit exclure de la demeure familiale, oubliant tout soutien et toute fortune. Elle s’installa non sans peine dans le quartier de Ropponji, où elle éleva sa fille Sari : le village de Sable en japonais. Elle avait appelé sa petite ainsi, en souvenir du « mandala » l’art du dessin de sable coloré, que son amant maitrisait à la perfection, disait –elle. De plus elle ne pouvait vivre autre part, que dans le quartier Gaijin ; Sari avait été reconnue par son père et portait son nom et Asami n’étant pas mariée à cet homme, était rejetée par la société. Sari grandissait aux cotés de sa mère, devenue malgré ses prestigieux diplômes, femme de ménage dans un supermarché, et arrondissait parfois ses maigres salaires en compagnie d’hommes aux allures coprophiles.

« Excusez ce bref et minable résumé de ma vie, mais là, je commence à baver… »Sari

Sari avait 14 ans lorsque Tokyo fut dévastée. En cette nouvelle journée d’automne, Amaterasu poussait délicatement les séraphins de l’Azur, comme à son habitude. Ce n’était pourtant qu’un typhon. En se réveillant ce matin là, Sari connaissait déjà son programme ; l’école ? une vraie perte de temps ! Même si sa mère s’était acharnée à lui donner la meilleure éducation possible, celle qu’elle avait elle-même reçue, cela n’avait pas empêché qu’elles pourrissent à deux dans ce maudit quartier. Elle, une étrangère ? Jamais ! Elle était japonaise de sang, japonaise de cœur. Sari vouait une haine viscérale à celui qui avait séduit celle qui l’élevait, elle ne pourrait pas pardonner. En bref, sa journée se résumait à retrouver ses amis dans une sorte de hangar abandonné, afin de pouvoir savourer son plaisir quotidien : L’opium. Il est vrai qu’elle n’est pas d’un caractère facile, mais une petite « prisette » tous les jours ne pouvait pas lui faire de mal !ce petit séjour en hôpital psychiatrique n’avait rien changé, de toutes façons. Il faut vivre tout de même !...ou survivre. D’habitude cela durait jusqu’au soir…D’habitude. Il y avait trop de vacarme dehors pour dire qu’il n’y avait pas de problème, Sari était la seule fille du groupe, les autres l’obligèrent à rester à l’abri ; de toute façon « la petite fée « faisait toujours son effet, elle ne pourrait pas faire grand-chose.

Il faisait froid, très froid, lorsque Sari s’aperçut qu’il y avait quelque chose d’anormal. Cloitrée dans le hangar , elle avait entendu des cris, beaucoup de cris, puis plus rien seulement les enfants qui pleuraient. Dehors c’était fini, tout était fini…même sa propre existence. Sa mère n’était plus qu’un cadavre aux chairs écrasées, dont la petite main dépassait des décombres de la maison. Elle n’avait pas eu le temps de lui dire adieu, ni à quel point elle l’aimait pour tout ce qu’elle avait fait. Elle ne lui dirait jamais. Devant ce théâtre dantesque qu’offrait la mort, il ne lui restait plus qu’un seul espoir :aller vers le Centre.
Aujourd’hui, Sari travaille en tant que serveuse le soir dans un Bar du Centre, elle ne s’y plait pas vraiment mais quelques beaux mecs passent quelque fois, « c’est toujours bon à prendre ».


« Tant qu’il y à de la chiche, y’a de l’espoir ! » Sari.


✠ Joueur/Joueuse ✠

• Prénom / Pseudonyme :Kashyapa Sari
• Âge :ça dépend si la drogue est dure ou douce (vieillissement de la peau tout ça...)
• Serez vous actif ? [ sur une échelle de 1 à 10 ]euh je dirais 5
• Comment avez-vous connu le forum ?euh par le net, pourquoi?

• Avez-vous lu le règlement ?mais je t'en pose des questions moi?! sinon je vends de l'h...ok oui je l'ai lu! Code validé par Kaz' ♥️
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Kazuki Umezawa

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Humeur : Hum...? Vous voulez le savoir ? Alors cherchez ! *sourit*



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Kashyapa Sari Vide
MessageSujet: Re: Kashyapa Sari   Kashyapa Sari EmptyMer 20 Jan - 10:17

Eh bien, eh bien, tu le sais déjà, mais c'est une fiche foutrement bien écrite ! ♥️_♥️

Je te valide donc de ce pas ♥️ Bienvenue ! ♥️


Dernière édition par Kazuki Umezawa le Mer 20 Jan - 10:24, édité 1 fois
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Jan L. König

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Kashyapa Sari Vide
MessageSujet: Re: Kashyapa Sari   Kashyapa Sari EmptyMer 20 Jan - 10:21

Méheu ! J'voulais la valider, moi !

Bon, pour la peine, c'est moi qui lui souhaite la Bienvenue \o/
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MessageSujet: Re: Kashyapa Sari   Kashyapa Sari Empty

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